Par Laurent
JANY,
le 25/05/20
Le
11 mai,
Cette date a été sur toutes les
bouches, sur nos télévisions, tablettes, visioconférences, radios, journaux. Jamais
une date n’aura été si importante, particulière, unique, parfois souhaitée,
attendue, parfois crainte. Elle marque la fin du confinement ou plutôt le début
du déconfinement progressif. Pour nous, le Dispositif Madeleine Brès c’est
l’heure de la reprise.
Les notions de
« règles » sont mises en avant : distanciation géographique
(préférée à distanciation sociale), port du masque, prise de température, sens
de circulation, gestes barrières, utilisation des salles, aménagement de
l’espace. Pour cela, 2 jours de préparation dans les locaux, ajoutés au travail
en VAD, en visio, ne sont pas de trop.
C’est enfin l’arrivée des enfants
et des jeunes, arrivée progressive, à mi-temps : le matin à l’IMP et
l’après-midi, adolescents et IMPro.
Reconnaissons-le, passée
l’habitude des gestes barrières,
c’est le plaisir de se retrouver au-dessus de tout.
c’est le plaisir de se retrouver au-dessus de tout.
Au départ, tout le monde semble
un peu perdu dans ces locaux pourtant connus mais transformés pour faire face à
la situation. Chaque enfant, jeune au sein des groupes a son espace de vie
particulier avec le fameux 4m² à respecter. Peu à peu, la vie reprend avec la
mise en place des emplois du temps, de l’utilisation des salles.
Chacun retrouve donc ses activités : celles qu’on aime beaucoup, un peu et puis bien sûr moins. Jeux d’eau, cuisine, activités éducatives, classe, psychomotricité, psychologie, soins, tout se remet en place et en ce 25 mai, c’est retour au plein temps pour tous !
Bien sûr, nous n’oublions ceux qui restent à la maison. Le télétravail, les VAD, les visio sont toujours en place, plus que jamais. Les visio collectives sur grand écran sont même programmées toutes les semaines.
Finissons cet article par
quelques commentaires. Tout d’abord, félicitations aux familles pour la période
écoulée. Et surtout, félicitations aux enfants, aux jeunes, pour le courage
dont ils ont fait preuve pendant le confinement. Saluons aussi le fait que les
règles des gestes barrières ont été intégrées. Bravo à tous !
Finissons l’article par une
invention d’Alexis, 10 ans, pour pallier les sourires masqués.
Il a inventé
« les yeux qui sourient ».
Alors n’hésitons pas à plisser
les yeux pour montrer nos sourires.
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